Poème.

La mort est venue me chercher.

Il y avais cette affreuse odeur âcre,
qui glissais doucement dans l'air,
bercée par un leger vent sage,
qui tentait de l'emporter loin de cette peine.

Tandis que la mort rôdait indéfiniment,
apportant ce parfum nauséeux,
qui noircissait la clarté du jour brumeux,
pour montrer son but inconvenant.

Elle berçais les larmes d'un ange exilé,
en lui soufflant plus de douleur,
pour lui faire naitre haine, rage, cruauté,
jusqu'a ce qu'en soit touché son coeur.

Et l'être déchiré dans sa torture,
se mit a pleurer de plus belle,
aux paroles de l'apparition déchue,
car elle était seule dans sa detresse.

Cet ange devint sombre, solitaire,
elle marchais sans ne plus voir la lumière,
dénuée d'espoir, habitée de peur,
mourrant lentement dans sa propre horeur.

Et la folie mutila son esprit lentement,
dechirant ses ailes, brisant son jeune corps,
sous l'air vainqueur de la triompheuse mort,
qui s'apprêtais a enfin posseder son âme d'enfant.

Mais a la triste fin de son agonie,
elle implora de l'aide une derniere fois,
a ce monde qui l'avais bannie,
comme dernier recours a son desaroi.

Et tandis que ses yeux noirs devait se fermer,
une main viens la rellever tendrement,
la faucheuse du alors se retirer,
car ce geste avais fait place a l'apaisement.


Atyala.

A travers l'amitié

Cette fille : je l'aime tellement.
C'est ma nature a moi,
Ses cheveux sont comme le lierre,
Grimpant sur les cotés d'un merveilleux château,
Ses yeux sont tel l'émeraude la plus précieuse,
Façonné durant plusieurs millénaires,
Sa bouche et tel le fruit,
Si délicieux qu'on ne l'éffleure qu'avec les lèvres,
Son sourir est a lui seul mon soleil,
Dés quel me sourit, les ténèbres se dispérsent,
Ses courbes sont mes montagnes,
Si difficile a atteindre au début,
Et ensuite, si facile a carresser,
Son coeur est la rose,
Quand l'homme n'a jamais laissé sa trace,
Belle jusqu'au bout de son corps,
Mais le traitement humain peut en faire la ronce,
Qui viendrat piquer tous les imprudent,
Ce qui la rend encore plus désirable.
C'est ma vie, c'est ma nature,
Sans elle, le chaos s'imposera en moi,
Alors si elle ne peut être mienne,
Seul l'amour d'un ami peut faire durer la flamme,
De la beauté et du désir.