Mon cahier

VOila quelques petit texte que j'ai retrouvé ça vaut ce que ça vaut :p


Idannas


Le bateau est sur le point de partir
Mais je ne suis pas pret
Mon coeur prefere mourir
Plutot quie de quitter ce lieux ou je suis né

Comment un tel tyran en est arriver la ?
Pourquoi tant de sang a deja couler
pour cet homme qu ine le merite pas
Cet empereur que meme les Dieux on abandonnés

Il condamne l'art et la magie
Il enrôle un peuple desabusé
Il nous a discrédité et bannit
Nous ne pouvons plus nous cacher

Le bateau m'attend maintenant
Nous partons vers l'inconnu
Loin de ces temps décadant
Loin de ces terre désormais perdu



Juger


J'ai le regret de vous annoncer,
Que vous etes mort
Votre vie sur la terre est terminé
Vous venez de perdre toute votre or.
Maintenant que vous n'avez plus rien
Nous allons grace a votre vie vous juger
Chaque jour seront analyser un a un.
Nous vous trouverons une nouvelle activité.

Je vois. Votre vie n'etais pas rose
Vous etiez un riche entrepreneur
Tout ces malheur, vous en etes la cause
Permettez, je vais voir mon supérieur

L'homme se relevant maintenant
Se croit entrain de rever
Mais il commence a realiser doucement
Que d'ici peu il sera juger

Ah donc c'est vous le nouveau ?
Mon collègue m'a informer
Vous auriez du me le dire plutot
Que vous aviez des difficulté pour entrer
Tout votre empire que vous avez fondé
Tout ces gens que vous avez soudoyer
Tout ces rêves que vous avez volés
Et bien disons que tout vous sera pardonner

Mais pour vous eviter l'enfer
vous devez accepter
D'un jour etre reincarné sur terre
Dans une famille pauvre et exploité

L'homme nia et refusa.
Tres bien. Je suis désolé
Mais vous n'avez pas le choix
Votre nouvelle vie vient de commencer

Un enfant vient de naitre dans un bidonville de Mexico
Ainsi commence sa nouvelle vie,
Il connaitra l'envers du decors qu'il a batit
Il verra que fouiller dans les ordures n'est pas de tout repos



Elédar

Dans sa bonté, Elédar offrit la vie
A quatre des entités qui le veneraient.
Chacune dans un coin du monde battit
La civilisation qui lui ressemblait

Mais un jour; il est ecrit
Que les quatres peuples
Une fois rassemblés
Combattront un puissant ennemi

Que le destin de leur monde,
Si fragile puisse t'il parraitre
A l'inverse de leurs ames moribondes
Devra survivre et renaitre

On raconte que ces mots sont encore écrit
La où tout a commencer
Et la où tout pourra etre finit
Où tout pourra etre brisé

La carcasse courbaturée,
Il se lève péniblement.
Du sommeil, de trop courte durée
Il émerge doucement.

Après des efforts colossaux,
Ayant mis à l'épreuve toute sa volonté,
Devant sa glace, il ne dit mot,
Et reste la, contemplant son reflet.

Des cheveux emmêlés,
Des yeux qui peine a s'ouvrir.
En tentant de parler,
Même sa voix, le fit souffrir.

Jeune homme se réveillant
Le lendemain d'une fête bien arrosée
Constatant presque inconsciemment
Les conséquences de l'alcool et de ses effets



Ecrit un Lendemain de fête le 28/02/08

PS : La soirée était particulièrement réussi :p

Perdu

Perdu,
Il l'a vu,
Dans l'utopie
D'un rêve infini,
Sa silhouette parfaite
Dans l'œil ému du poète.
Son doux parfum l'ensorcelle
Sa voix, dans son cœur l'interpelle.
Mais la nuit fini, son songe le fut aussi
Retour rapide dans une vie placide
Le temps et l'espace sont vide
La glace brisée, son reflet
Affreusement cerné,
Du rêve au mépris
Loin de l'utopie,
Il y aura cru
Perdu

J'aime beaucoup *-*

Merci

Ce que j'aime dans tes poèmes, c'est soit la forme que tu leur offres, soit leur message toujours bien particulier, ou encore l'univers tout autre dans lequels ils sont écrits. J'ai un faible pour le dernier dans ceux ci: "Perdu", je le trouve original et très joli, enfin c'est juste mon préféré parmis ceux la!

En hâte de nouvelles lectures de ta part, je te souhaite une bonne continuation!

L'habitant de nulle part

La rue vide accueille dans le brouillard
L'ombre d'un voyageur isolé.
D'âge indéterminé, un homme hagard,
Accompagné d'un chien fatigué.

Bien qu'il ne soit pas si vieux,
La musique était sa vie.
Rien ne le rendait plus heureux,
Et dans le gouffre, cela l'a conduit.

L'artiste qu'il était dût faire face
A un monde glacé
Qui n'acceptait plus la place
D'un troubadour engagé,
A un monde affligeant
Qui n'acceptait plus la place
De ce musicien itinérant

Maintenant, il n'est plus rien.
Arpentant ville après ville, en quête
D'un toit, d'une pièce, d'un bien
Attendant que cette existence s'arrête

On le nomme sans abri, il n'est que mendiant
On ne veut plus de lui, tous, le regardent fuyant

Il est l'habitant de nulle part
Traversant la rue, accablé
Errant sur ce trottoir
Où il cessera d'exister

Très beau et à la fois un peu réaliste.

Merci

Après un long "rien" voici un petit truc écrit entre deux bouts du scénario de mon court métrage.

Si demain


Si demain, on t'interdisait de lire
Instaurait le couvre feu
Te demandait de ne plus sortir
Changeait les règle du jeu

Si demain, on te demandait de te taire
Choisirait ton travail et ta place
Déciderait de ce que tu dois faire
Redéfinirait ton espace

Si demain, on te voulait du mal
T'enrôlait dans une armée
T'envoyait dans une cale
Faire la guerre contre la liberté

Si demain, le ciel s'obscurcit
Te lèveras tu pour t'opposer ?
Seras tu la, ou endormit ?
Le jour se lève, à toi de le prouver ...

J'crois que les frissons qui parcourent mon corps parlent d'eux même...
Et me voilà lancée dans une grande réflexion sur ma personne... Alors, Ebha, si demain... ? -euh, j'sais pas !-

Merci