Par goutte, la folie s'infiltre dans mon sang,
Par honte, je laisse déteindre se que je ressents.
Par litre , la bétise m'envahis,
De véritée elle me pétrit.
Sur un air monotomne se déroulent mes plaisirs,
Car malgré ma joie, mon bien être se laisse mourrir.
Je marche seule sur mes frèles idées,
je divague dans l'impossibilitée.
J'apprécie le pathologique,
Qu'offre le plus frèle public.
Parrait-il que je suis dépassé,
Que j'ignore les risques dont parle l'actualitée.
Parfois il est vrais je me méprise,
Face aux capacitées dont j'ai l'emprise,
Par moment je m'y remets,
Encore et toujours à divagué.
Je peints par ma mélancolie,
Les idées d'une nouvelle vie.
Je trouve le bonheur en m'accablant,
Mais souffrir n'est-ce pas se sentir vivant?