Poèmes

Déchirure


Un jardin fleurie en ce printemps,
Le soleil scintille de mille feux,
Je rêve de ces histoires depuis longtemps,
A m'inventer des histoires et des dieux.
Je m'imagine jours et nuits la pleine lune
J'écrase les cauchemars qui me hantent,
Je ne louperai ces occasions, jamais, aucunes
A écouter les oiseaux qui chantent.
C'est un monde merveilleux depuis peu
C'est mon bonheur, qui me rend joyeux
C'est mon chemin que je poursuis
C'est avec elle que je partage ma vie.

Stop...

Projecteurs éteints je ne vois plus
Cœur brisé et une âme déchue,
Mis à nu aussi rapidement
Visage pâle et larmoyant.
Aujourd'hui n'existe plus,
Demain ne se présentera jamais,
Hier, passé que j'ai toujours cru,
Eternité pour enfin te regretter.
Les larmes du cœurs ne sont
Que le sang qui coule de mes veines,
La déchirure de cette passion
Dont le moteur était ma reine.
Le jour se noircit encore,
La nuit éclaire ma solitude
Ta vie était de l'or
Je t'aime c'est une habitude.

Fin


Les lueurs immobiles du jour qui s'achevent,
La ou un homme seul fait une treve,
Regardant seul l'écume de la mer,
Etant seul du printemps a l'hiver,
Regardant par la peine de sa solitude,
Les bateaux s'échouant dans les temps rude,
Esperant rencontrer un naufragé,
Car de rester seul il en est désespéré,
Ses larmes coulent comme les vagues,
Qui meurent s'ecrasant, laissant une trainée,
Et la peine de sa rage,
Empiete cet esprit tourmenté,
Qui jour et nuit espere,
Que sa matinée se releve,
Pour voir son printemps plus clair,
Pour enfin qu'il reve.
...
La tempete se dechaine un jour de plus,
Son ile deserte sera un "elle fut",
L'homme se sent seul,
Personne pour preparer son linceul,
La mer sera son cerceuil,
Il se fera emporté comme le vent le fait a une feuille,
On peut appercevoir ses larmes,
Ses pauvres et dernieres armes,
Entre ces gouttes d'eau,
Qui l'emmenent au fin fond des flots,
Une descente en enfer,
Pour aller au paradis,
Il ne meritait pas cette vie sur terre,
Mais le destin l'a fait ainsi.
...
Il se fais accueillir a bras ouvert,
Entre autre par son pere et sa mere,
Tous ceux qu'ils l'avaient quittés,
Il les a enfin retrouvé,
Ca valait bien la peine,
D'avoir eu une vie sans reine,
Son prix est le paradis,
Malgres sa petite vie.
...
Aujourd'hui il veille sur ces marins,
Qui comme lui ne voient plus leur fin,
Il les protege,
Comme il aurait voulu sur terre son cortege,
Il ne veut plus une vie comme la sienne se renouveler,
Et meme aujourd'hui les marins l'ont vénéré!

Irrealiste


J'aimerais marcher au loin
Et m'éloigner de la pluie
Regarder ton chemin
Sans changer ta vie.

Je voudrai parler de toi
Sans que tu le saches
Me faire passer pour ton roi
Et que rien ne se gâche.

Je voudrai te voir sourire
En dehors de mes rêves
Et quand je dois partir
Ta main me soulève.

Je voudrai ton cœur
Sans toucher ton âme
Te chanter pendant des heures
Que notre amour n'est pas un drame.

Je voudrai secher tes larmes
Cacher toutes tes peines
Raconter des histoires de reines
Et te rendre comme belle femme.

Je voudrai marcher dans tes pas
Sans y laisser des traces
Donner des ailes efficaces
Pour ton esprit de fougace.

Je voudrai te faire voir le soleil
Ainsi que notre belle mer
Et que quand tu te reveilles
Ton sourir cache un baiser sur tes lèvres.

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Cécile


Regard scintillant sourir léger,
Beauté flagrante sachant régner.
Par la joie, belle et s'envole
C'est le bonheur récolté;

Une image pourtant drôle
Un sentiment partagé.
Tu sais pourtant l'offrir
Grand moment de plaisir.

Entre amour et rire
Entre toujours et le pire,
Le choix est difficile
Mais c'est toi Cécile.

Si loin de moi, regrets.
Grand amour et gaieté,
Ce que tu as emmené
Par le simple fait d'exister.

Mains douces et pures
Visage pâle mais sûr,
Comment t'imaginer
Une magnifique réalité.

Après de long temps
Lamour reste vivant
C'est pas toujours facile
Mais c'est toi Cécile.

Je reste sur ton chemin
Je recroise ta route,
C'est un signe du destin
Plus rien ne coùte.

Le jour se lève ici
La neige est chez moi
Ccomment déclarer ceci
Tu ne connais le froid.

Mon coeur est avide,
Ma vie n'est plus vide.
Tu es pourtant si fragile
Mais je t'aime... Cécile.

Vie



Emportées par la force de l'océan,
Ô grandes âmes tourmentées
C'est vers l'infini et le néant,
Que maintenant vous voyagez.

Emoprtés par la foudre
Ô grands hommes vivants,
Loin des éclats de poudre
Vous revoyez votre temps.

Emportées par le vent
Ô vous les fleurs d'amants,
Vous disparessez violemment
Vous nous blessez profondément.

Emportés par le temps
Ô petit inconscience d'enfant,
Un jour tu deviendra grand
Et puis tu perdras ton sang.

Emportées par la vie
Ô vous âmes vivantes
Aujourd'hui je vous envie
D'être toujours mourrantes.

Emportées par la mort
Ô les mythes chimériques,
Je n'ai plus de remords
D'être si pathétique.

Hommage

Je te revois petite soeur
Je te revois dans mon coeur,
Je te revois dans mes bras
Je revois la douceur de ta voix.
Les notes qui sortaient de ta bouche,
Tes phrases tes expressions louches,
Tout ce qui faisait ton charme
Tout ce qui a fait ton drame.
Cette chose qui a fait couler mes larmes,
Des dames comme toi il n'y a pas,
Pourquoi avoir touché le blâme
Je te revois dans mes bras...

Ô odieu jour qui t'as eteind,
Ô odieuse nuit qui t'as pris ton demain,
Pourquoi toujours sur nous?
Pourquoi me faire devenir fou?
La mer t'as emporté,
Le vagues t'ont entérrées,
Je veux te revoir, Trop de desespoir,
Ou est donc la luimère qui eclaire mon phare?

Je revois ce jour
Je revois ta nuit,
Un jour pour toi trop court
Un jour qui s'acheve pour l'infini,
Tant de phrases si belles
Pour un acte si cruel;
Tant de phrases si belles,
Tant de phrases qui t'on mené au ciel.
Le sort en etait jeté
Tu vivras dans mon hiver,
Mais plus dans mon été
Tu manques, si tu savais...